Un océan rîdait de sang ...

Il est doux de se croire malheureux, quand on est que vide et ennuyé par la triste désolation de se monde, sanguinaire, brutal et inutile … Tout comme les êtres s’y trouvant, le salut de se misérable insecte qu’était l’homme me laisser perplexe, une fâcheuse tendance à se croire au dessus de la chaîne alimentaire alors qu’ils en sont tous juste les piliers maintenant l’équilibre des bêtes et de la souffrance engendré par leurs caprices. La perception de la réalité où l’impossible deviens possible était une de mes nombreuses caractéristiques.

Un point de vue bravant l’infinité de la neutralité, un jugement impartial n’éprouvant pas la moindre once de sentiment, tel en était les deux points qui pouvaient à eu deux dresser une créature de ma trempe. C’était l’amertume des secrets de ma naissance qui me guida tout droit devant cette vaste étendue d’eau, brouillait par une épaisse brûme synonyme de l’atmosphère glaciale régnant en ses lieux. Ma carrure implacable était tourné vers les maigres reflets qu’elle prodiguait à mes yeux.

Mon regards voguait sur la surface limpide de ses eaux cherchant désespérément à comblé ce manque flagrant d’émotivité, sans pour autant y arriver. La rétines verdâtres de mes yeux erraient sans fin, en quête d’un signe quelconque. Ce monde me méprise, tout autant que je qu’il importe, un cycle perpétuel condamné a ce répété les jours qui suivent, vivre au seins d’une routine comme si tout avait été programmer depuis le début… Né t’es ce pas le but recherché des chercheurs qui mon mit au monde ? Le rêve démesuré d’un groupuscule composer de savant fou … Voila ce que cet océan évoquer pour moi, les vestiges sombrant dans l’oublie .

« … »

Je comptait tous simplement brûler le berceau de l’humanité, tel en fut le désir de mes créateurs .

S

P

« Yo fils de pute »

~

C

es quelque mot sortirent de ma bouche d'une tels finesse que j'en vint a m'impressionnés. Ma main ce posa lentement sur Panthera, d'un simple bruit de féraille elle sortit, cela produisit une tels force qu'une vague de chakra ce propulsa. Cela fit monter la poussière du sol pour qu'elle vienne ce mélanger a la brume. Ma matinée comment extrêmement bien, j'étais exité a l'idée de débuté ce combat, je l'attendais depuis longtemps. Personne n'avait intérêt a se mettre sur mon chemin sous peine de mort.

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« Toujours blanc comme un cul...Ulquiorra »

Je peux pas faire mieux ce soir... ^^'

Chanson n°17 -

Je donnais à l’homme ce goût âpre, qui parsemait leurs bouches, je lui conférai tous simplement une impression d’infériorité face à moi incarnant une forme de perfection, que nul ne pouvait négligés. Ma prestance acrimonieuse semer le doute, généralement suivit de la peur, une peur bien réelle remontant à des siècles, un pitoyable instinct d’animal, celui d’une proie fuyant devant un prédateur au degrés de puissance très conséquent. A mon égard, seul un homme se démarquer de se lot m’inspirant la médiocrité, un homme qui finalement renia toute similitude avec l’humanité, pour se rapprocher du coté bestial. Le hargneux de Kiri… Grimmjow Jaggerjack. La politesse ne faisait pas parti de son vocabulaire, ce manque flagrant de maturité n’était qu’un vulgaire masque dresser derrière sa force. Nombreuses étaient les fois où il me prouva sa détermination et sa rage de vaincre. Hélas la différence de niveau ne résidait pas dans nos techniques, mais dans l’intelligence, foncer tête baisser sur un adversaire tel que moi c’était comme ce jeté d’une falaise sans rien pour avoir freiner la chute.

« C’est terminer Grimmjow … »

Ces mot se mêlèrent au froid macérant dans ses eaux profondes. J’accentua ma voix en crescendo pour lui faire comprendre que cette fois ci il était … finit . Je resta immobile, toujours face à l’eau, mon corps donna comme l’impression d’être enraciner dans ce sol humide. Les insultes qu’il déblatéra s’éloignèrent aux larges. Peu après un silence pesant s’installa. Sans réfléchir, c’était une évidence qu’il se préparer à engagé le combat, c’était une certaine façon de se sentir vivant. Quant il dégaina sa panthera, la brutalité de son chakra balaya d’un geste la terre autour de lui. C’était également un épéiste, en m’offrant se bref spectacle il donna juste raison à son titre mais aussi il démontrait son impatiente, sortir ses atouts des le début ressembler beaucoup à de l’inconscience. Après avoir effectué une série de mudra j’effleura le manche de Murcielago.

« Tss »

« Ta prestance est sans équivoque, mais tes actes n’en démontre pas moins ton manque de confiance.
Aurait tu peur ? Pourquoi faire persisté se dialogue dénué de sens … »

J’allais étanché la soif abyssale de l’océan en l’abreuvant de son sang . Il mérité de recevoir une leçon, une sanction s’imposer . Le ciel s’assombrit de nuages de mauvaises augures, ils annonçaient la mort de l’un de nous deux. J’entrevoyais l’hypothèse de perdre se duel … La signification de perdre pour moi serai de devoir tuer un homme qui finalement se différencier des autres. Hélas je n’avais bien peur qu’il ne me laisse pas ce choix. Un bruit sourd déchira le ciel, un éclair pourfendu les nuages pour s’abattre juste entre nous deux. Provoquant un léger écran de poussière, j’exécuta une deuxième série de mudra..

Bilan combat & U.c

A

musons nous un peux, oui amusons nous. Ulquiorra était en face de moi, j'avais sortit Panthera, et lui Murcielago. Un éclair foudroya le bout de terrain qui nous séparait, une nuage de poussière énorme ce fit sentir, j'en profita pour faire deux bunshin qui ce posèrent a mes coté, il sortirent chacun deux shuriken,moi, je n'en sortit qu'un seul, panthera dans mon autre main. J'attendais quelque seconde avant de les envoyer, j'étais tellement content de faire ce putain de combats, enfin, depuis le temps que je l'attendais. Même si j'en venais à perdre, c'était rien, au moins le sang aurait finie par couler.

J

'envoyas donc ces cinq shuriken en direction de cette épeiste de merde, surement allait-il éviter, mais c'était mieux ainsi, nous pourrions nous amuser comme je le souhaite. Mes deux clones eux, firent certains mudras, ce nuages de poussière nous cachait toujours. Les shurikens était sortit de l'autre coté de ce mur, ce dirigeant a une vitesse folle vers mon adversaire, allait-il les évités ? Je n'en savais rien. Une voix, une simple voix rauque ce fit entendre, elle avait en elle l'impression de jouer, de s'amuser, de s'éclater...

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« Sa ne fais que Commencer... C'est le début de l'enfer pour toi... »

U.c ~~ Ce soir ou demain .